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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 17:30
Henry vers la fin de carrière ?

Henry vers la fin de carrière ?

 

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 14:32

 

Les notes: Matuidi, oui !

 

Il est de retour ! Auteur d'un match énorme défensivement et offensivement face au Barça, Blaise Matuidi a indéniablement été l'homme du match côté parisien.

Blaise MATUIDI: 8

Les choix de Laurent Blanc vont devenir difficiles au retour d'Ibrahimovic, puisque Matuidi et Pastore viennent de prouver qu'ils pouvaient parfaitement jouer ensemble. Principale victime du retour en grâce de l'Argentin, l'international français est indéboulonnable. En plus de marquer, il a encore couru comme un damné de la première à la dernière minute. Avec une efficacité incommensurable.

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Salvatore SIRIGU: 5,5

A part se concentrer d'une façon maximale, il n'a rien eu d'autre de concret à faire en première période. Il ne peut rien sur le but de Lionel Messi, où il est autant pris de vitesse que ses camarades. En revanche, il semble plus lourd sur celui de Neymar... Toutefois, ses prises de balle aériennes en fin de match ont grandement rassuré.

Gregory VAN DER WIEL : 7

C'est sans doute sur ce genre de moments à très haute tension que le Néerlandais s'affirme comme le vrai titulaire à son poste. Pas de fioriture alors que Serge Aurier en a déjà trop montré face à des adversaires français de seconde zone. Contre le Barça, toute mini-erreur de jugement est évidemment proscrite. Il ne s'est jamais laissé prendre, et c'est lui qui adresse un centre parfait sur le troisième but de Matuidi.

DAVID LUIZ: 7

Dans son registre, mais enfin avec des effets positifs ! Définitivement fou-fou, le Brésilien a ouvert le score d'un enchaînement d'attaquant. En fin de première période, il a aussi régalé le Parc d'une chevauchée dont il a le secret... avant de perdre le ballon. Il ne s'était pas encore lâché sous le maillot du PSG, il a pu le faire (un peu) grâce à la confiance d'un match réussi défensivement.

MARQUINHOS: 7,5

Il faut laisser de côté l'action du premier but du Barça, ou presque, pour lui comme pour les autres, tant cette action aurait déstabilisé la quasi-totalité de toutes les défenses du monde. Pour le reste, il a confirmé qu'il avait fortement mûri ces derniers mois. L'absence de Thiago Silva lui donne des responsabilités, il les assume. Son sauvetage à la 82e est monstrueux.

MAXWELL: 6

Son expérience de la Ligue des champions a tendance à devenir monumentale, et le PSG en tire à chaque fois un grand profit. Il s'est d'abord autorisé un peu plus de montées que Van der Wiel, avant de rester beaucoup plus sage après la pause, Alves montant beaucoup sur son côté. Il est resté sur un rythme régulier, ce qui le caractérise parfaitement, contrairement à son alter ego du côté droit qui est monté en puissance.

THIAGO MOTTA: 7

Il est enfin redevenu la vraie plaque tournante parisienne, qu'il n'avait pas encore été depuis le début de la saison. C'est lui qui frappe le corner décisif pour Verratti. Dans un autre registre, il met un bon tampon à Lionel Messi en première période. C'est moche, mais il faut admettre que c'est aussi utile dans ces matches pour montrer à l'Argentin qu'il ne va pas enchaîner dix dribbles les doigts dans le nez...

Marco VERRATTI: 7

S'il continue comme ça, quelle est sa limite ? Ce gamin joue de la même façon contre Reims que contre Barcelone, c'est un fait. Il fait usage de son incroyable protection de balle avec autant d'aisance, provoquant parfois le même agacement. Il a même réussi à marquer de la tête, lui le petit qui ne tire jamais, avant de prendre un carton jaune quasiment sur l'engagement ! Fatigué et remplacé à la 71e par Yohan CABAYE.

Javier PASTORE : 7,5

C'est surtout dans sa façon de prendre des initiatives que le «Flaco» a changé. C'est plus un nouvel homme qu'un nouveau joueur, il prouve qu'il est désormais capable de maintenir son meilleur niveau sur la durée d'un match entier (même s'il a fini fatigué). Ses rushes de la 60e et surtout de la 76e minute ont enflammé les spectateurs du Parc, qui l'ont chaleureusement applaudi au moment de son remplacement par Clément CHANTOME à la 86e.

LUCAS MOURA: 7

Jérémy Mathieu se souviendra de lui. Son pouvoir d'accélération est sans égal, une denrée pas si courante en Europe et dont le PSG peut (très) difficilement se passer. Le Brésilien frappe le coup franc sur le but de son compatriote David Luiz et il défend avec la même application que tous... Remplacé à la 91e par Jean-Christophe BAHEBECK, qui a réussi ses quelques minutes de temps additionnel.

Edinson CAVANI: 4,5

Oui, il a couru. Beaucoup, devant et derrière. Mais il n'a toujours pas marqué... On peut dénombrer, sans problème, quatre frappes ou actions mal conclues de sa part. Ça ne fait que s'accumuler à plusieurs prestations de ce genre depuis six mois... Non, Zlatan Ibrahimovic n'est pas tout à fait remplaçable par un Cavani rongé par le doute.

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 11:45

PSG

Mancini pour remplacer Blanc ?

Mancini pour remplacer Blanc ?

 

Laurent Blanc, suite au début de saison décevant du PSG, se retrouve dans une situation inconfortable sur le banc parisien. Au point que déjà un prétendant à la succession de l'entraîneur des doubles champions de France se profilerait en la personne de Roberto Mancini, croit savoir Le Parisien.

Selon une information relayée par Le Parisien,un candidat tout désigné se profilerait déjà à l'horizon pour succéder sur le banc du PSG à un Laurent Blanc de plus en plus fragilisé par un début de saison décevant. A trois jours du choc en Ligue des Champions face au FC Barcelone, mardi, au Parc des Princes, le nouveau match nul (1-1) enregistré samedi, au Stadium, face au TFC, pour le compte de la 8e journée de Ligue 1, ne cadrerait pas avec le plan de marche fixé par le président Nasser al-Khelaïfi à son technicien, certes soutenu publiquement après l'autre nul (1-1) concédé face à Lyon, mais "invité" surtout à remporter ses deux prochains rendez-vous en championnat et à faire bonne figure face au Barça. Un enchaînement déjà plus d'actualité après la triste prestation dans la Ville Rose.

Et si, selon le quotidien, aucune piste n'a pour l'heure encore été activée par les dirigeants parisiens, une éventuelle humiliation mardi face aux Barcelonais serait durement ressentie par les Qatariens pour lesquels un homme présenterait un profil idéal dans le cas d'un éventuel changement d'entraîneur à Paris : Roberto Mancini, libre depuis son départ de Galatasaray au printemps dernier, a la stature pour reprendre en mains un effectif incapable aujourd'hui de réactiver la dynamique qui a permis la conquête de deux titres de champion de France ces deux dernières saisons. 

Plus que l'ancien Directeur sportif, Leonardo, dont le nom revient avec insistance, mais qui ne serait plus, toujours selonLe Parisien, en odeur de sainteté auprès de certains membres du vestiaire parisien, l'ancien entraîneur de Manchester City et de l'Inter, déjà approché par le PSG en 2013, présente en outre l'avantage d'avoir déjà entraîné des joueurs de tout premier plan, parmi lesquels un certain Zlatan Ibrahimovic à Milan, entre 2006 et 2008. 

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23 septembre 2014 2 23 /09 /septembre /2014 00:17
Ménès: "Tout ce qui vient du caniveau..."

Ménès:

 

Pierre Ménès a réagi dimanche soir lors du Canal Football Club, aux propos de René Girard. Lors de la conférence de presse suivant le match nul de son équipe face à Montpellier (0-0), l'entraîneur lillois a déclaré aux journalistes présents: "Vous n'allez pas faire comme le gros à Canal+, vous n'allez pas vous y mettre aussi." "Très, très bonne éducation. Un exemple pour tous après son doigt d'honneur à Schalke. Tout ce qui vient du caniveau reste dans le caniveau", lui a rétorqué le consultant de Canal +. En octobre 2012, René Girard, alors entraîneur de Montpellier, avait écopé de deux matches de suspension dont un avec sursis de la part de l'Uefa pour avoir adressé un geste obscène en direction du banc du club allemand, à l'occasion d'un match de Ligue des champions.

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22 septembre 2014 1 22 /09 /septembre /2014 22:00

Déjà sur le départ ?

Bielsa sème le doute sur son avenir.

Marcelo Bielsa a déclaré lundi n'avoir qu'un contrat d'un an avec l'OM, insinuant ainsi pouvoir partir dès la fin de l'actuel exercice. 

Il se passe toujours quelque chose lors des conférences de presse de Marcelo Bielsa. Contrairement à ce qui est annoncé officiellement depuis son arrivée à l'OM, l'entraîneur argentin a affirmé lundi qu'il ne s'était engagé que pour une saison et non deux avec le club phocéen.

"Je ne m'engage pas sur des projets de deux ans, d'ailleurs mon contrat est d'une durée d'un an. J'ai choisi une durée si courte parce que je veux laisser au club le temps de voir mes spécificités. Je ne veux pas que la durée de mon contrat soit un problème dans mon travail. J'ai toujours fonctionné comme cela en club. C'est moi qui ai demandé un contrat si court, dans un geste de bienveillance, et la direction a accepté."

Une annonce surprenante, d'autant plus que la Charte du football professionnel indique que: "chaque premier contrat dans un club de l'entraîneur titulaire du DEPF est conclu pour une durée minimum de deux saisons" (article 680 de la Convention collective nationale des métiers du football). "C'est bien un contrat de deux ans, mais il y a une clause au bout d'un an", a répondu le coach de 59 ans.

"El Loco" n'exclut pas pour autant de poursuivre l'aventure un an supplémentaire: "Je ne confirme, ni n'infirme que je vais rester au club. Dans le foot, on sait tous que tout va très vite. Une chose est sûre, le prestige du club est plus important que celui de l'entraîneur." Par cette déclaration, Marcelo Bielsa a-t-il voulu avertir son président Vincent Labrune que lui seul était maître de son destin ? 

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 10:30
Paris: un motard mort et un policier blessé dans une course-poursuite sur le périphérique.

Paris: un motard mort et un policier blessé dans une course-poursuite sur le périphérique

 

Un motard est décédé et un policier a été "légèrement blessé" après une course-poursuite dans la nuit de mercredi à jeudi sur le périphérique parisien, dans le sud de la capitale, a-t-on appris de source policière.

"Un motard qui refusait d'obtempérer sur la commune de Montrouge", à hauteur de la porte de Châtillon, a été pris en chasse par deux policiers, eux-mêmes à moto, a expliqué à l'AFP une source policière, confirmant une information de LCI.

"La victime est morte sur le coup après avoir chuté", a déclaré cette source, précisant que le policier était lui "légèrement blessé", sans apporter plus de détails.

L'identité du motard décédé n'était pas connue, a-t-on ajouté.

Le service de traitement judiciaire des accidents (STJA) et l'IGPN, la "police des polices", ont été saisis.

L'accident s'est produit à 02H00 du matin sur le périphérique intérieur, à hauteur de la porte de Châtillon (sud de Paris), qui était encore fermée à la circulation en début de matinée.

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 09:00
Des Bleus énormes !

Des Bleus énormes !

 

L'équipe de France a réalisé une performance de haut vol pour disposer de l'Espagne, mercredi à Madrid, en quarts de finale de la Coupe du monde (65-52). Un exploit de taille qui les envoie vers une demie contre la Serbie.

Une entame de feu qui a donné le ton de la soirée. Alors que l'Espagne devait poursuivre un récital entamé au début de sa Coupe du monde, ce sont bien les Tricolores qui ont sorti leur tenue de gala. Sans Parker, ces Bleus rajeunis ont réussi à tenir tête aux frères Gasol, à toute une salle pourtant en feu dans le troisième quart-temps, soit au plus fort de la tempête, pour mieux réaliser un exploit retentissant.

Et Nicolas Batum aura beau jeu de dire "ce n'était qu'un quart de finale" à l'issue de la rencontre sur Canal+, c'était évidemment bien plus que ça. Car au-delà du contentieux qui peut exister entre les deux équipes, qui avait pris une autre tournure l'année dernière lors de l'Euro remporté par les Bleus, c'est bien vers une demi-finale de Coupe du monde que ces Bleus se retrouvent propulsés.

Une performance débutée par un concours de tirs primés avec Diaw en vedette et des Bleus qui ont pris les devants d'entrée 8-0 puis 11-2. Et malgré le retour espagnol, les Français ne vacillent pas et bouclent ce premier quart en regardant, déjà, leurs adversaires dans les yeux (15-15). Le début du deuxième acte leur donne raison, collectivement c'est beaucoup plus fluide et l'intensité défensive ne baisse pas d'un pouce. Gobert débute son show avec deux dunks consécutifs et les Bleus creusent un premier écart pour mener 35-28 à la pause.

Quand Gobert contre Pau Gasol

Et si le troisième quart est franchement compliqué avec des Espagnols qui prennent les Bleus à la gorge, le manque d'adresse est compensé par la défense et les rebonds de Gobert. A la faute anti-sportive sifflée contre Pietrus, les Tricolores s'en sortent très bien puisqu'ils entament les dix dernières minutes avec seulement 1 point de retard (42-43). Le calme prôné par Vincent Collet à la pause est encore dans tous les esprits quand Fournier puis Diaw d'un nouveau tir à 3 points (51-45) contraignent Orenga à prendre un temps mort à 6'40 du terme.

Loin de se déliter sous la pression, la défense française se resserre encore, Gobert se permet de contrer un Pau Gasol qui va perdre pour la première fois contre les Bleus, et Heurtel sort du chapeau pour creuser un écart qui passe de +3 à +10 grâce à lui (62-52). La France l'emporte finalement 65-52 et peut fièrement bomber le torse. "Il n'y a pas beaucoup de gens qui pensaient qu'on pourrait le faire mais on y est arrivé. Je suis fier de tous les joueurs, on ne réalise pas encore qu'on a gagné un quart de finale de championnat du monde contre l'Espagne", plaide Diaw sur Canal+ Sport.

L'exploit est dans la poche mais bien entendu, ils ne veulent surtout pas s'arrêter en si bon chemin. "On a savouré une minute, maintenant on bascule sur les demi-finales et on veut être capable de le refaire", confie ainsi le capitaine. La Serbie n'a qu'à bien se tenir.

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 20:30

La France choisit Roland-Garros

 

La France choisit Roland-Garros

 

La demi-finale de Coupe Davis entre la France et la République Tchèque se déroulera à Roland-Garros (12-14 septembre). Décision annoncée ce lundi par la FFT.

Douze ans après France-Etats-Unis, le court Philippe-Chatrier de Roland-Garros va accueillir une nouvelle rencontre de Coupe Davis. La demi-finale entre la France et la République Tchèque, programmée du 12 au 14 septembre, se tiendra en effet sur la terre battue parisienne. Décision prise après concertation entre Arnaud Clément, le capitaine des Bleus, et les joueurs, validée ensuite par le Bureau fédéral de la FFT. "Cette décision fait suite au choix d'Arnaud Clément, capitaine de l'équipe de France, et des joueurs, de recevoir la République Tchèque sur terre battue extérieure", peut-on lire dans un communiqué publié ce lundi.

Dès la qualification acquise, dans la douleur, contre l'Allemagne en quarts de finale, Roland-Garros tenait déjà la corde pour accueillir la rencontre face aux doubles tenants du titre tchèques. "J'avais milité pour le gazon mais ce ne sera pas possible. Il y a de bonnes chances que ce soit à Roland-Garros. Il y a encore deux ou trois choses à régler", avait précisé Michaël Llodra il y a deux semaines, en marge du Masters 1000 de Monte-Carlo. La terre battue extérieure est un choix logique pour contrer les rêves de triplé de Tomas Berdych et Radek Stepanek, tous les deux moins à l'aise sur l'ocre que sur surface dure ou en indoor.

Il y a douze ans, Llodra faisait déjà partie de l'aventure et le Parisien, aux cheveux peroxydés à l'époque, avait perdu le double au côté de Fabrice Santoro. Heureusement pour eux, Clément, aligné en simple par Guy Forget dont il a pris la succession dans le rôle de capitaine, avait dominé Andy Roddick dès le premier jour, avant un succès de Sébastien Grosjean contre James Blake. Porté en triomphe sur le court après la qualification des Bleus pour la finale, Forget avait alors lancé un discours mobilisateur au public parisien en donnant rendez-vous trois mois plus tard contre la Russie. Une finale de triste mémoire...

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 16:34

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Après Stan Wawrinka à l'Open d'Australie en janvier, un autre joueur qui n'appartient pas au fameux "Big Four" (Federer, Nadal, Djokovic, Murray) inscrit donc son nom au palmarès de l'un des quatre plus grands tournois du monde. L'année 2014 a fait souffler un vrai vent du changement dans la hiérarchie mondiale. Avant cette saison de chamboulements, à l'image des résultats inattendus des demi-finales à New York, il fallait remonter à 2009 et le sacre de Juan Martin Del Potro pour voir un nom différent en haut de l'affiche. Le parallèle avec Cilic est même frappant, surtout sur le plan du jeu et de la réussite.

Il y a cinq ans, l'Argentin avait débarqué sur le circuit depuis peu de temps. Cilic, lui, a déjà écumé tous les tournois et s'était fait remarquer en 2010 avec une demi-finale à Melbourne. Mais la façon dont les deux joueurs ont tout fracassé à Flushing Meadows est identique ou presque. Le Croate, gonflé de certitudes après ses succès face à Tomas Berdych en quarts de finale et surtout Roger Federer en demies, a littéralement marché sur l'eau dans cette finale. Gros service, comme Del Potro, gros coup droit délié, comme Del Potro, revers à deux mains puissant, comme Del Potro, et confiance inébranlable, comme l'Argentin à l'époque qui sortait d'un été américain très remarqué.

Retour dans le top 10

Nishikori, qui devait sans doute sentir l'immense pression de tout un pays sur ses épaules, est passé au travers de son match. Jamais le Japonais n'a réussi à reproduire les mêmes schémas de jeu que face à Milos Raonic, Stan Wawrinka et Novak Djokovic, ses dernières victimes avant la finale. Quelques fulgurances par-ci, par-là, mais les occasions ratées, à l'image de sa réussite en berne sur balles de break (1/9), ont plombé son rendez-vous avec l'histoire. Les points importants, comme les balles de débreak dans le 3e set, Cilic les a mieux joués à chaque fois en se montrant plus agressif ou en s'appuyant sur son service (80% des points gagnés derrière sa première balle).

Il n'y a pas eu photo dans cette finale, la moins passionnante de la saison en termes d'intensité et de dramaturgie. Mais Cilic s'en moque. Dès mardi, le Croate fera son retour dans le top 10, à la 9e place (meilleur classement égalé). Et après le titre de Wawrinka à Melbourne, le sacre de Cilic est une nouvelle brèche ouverte dans le royaume des Majeurs défendu à quadruple tour par les omnipotents Federer, Nadal et Djokovic. Un exemple à suivre pour les autres joueurs, qui ont eux aussi des ambitions.

 

 

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 16:31

Cilic marche sur l'eau en finale

 

Cilic marche sur l'eau en finale

Marin Cilic a remporté une finale à sens unique ce dimanche à l'US Open. Le Croate a étouffé Kei Nishikori en trois sets secs (6-3, 6-3, 6-3). C'est le premier titre en Grand Chelem de sa carrière.

Une finale comme dans un rêve. Mais même dans ses rêves les plus fous, Marin Cilic n'avait pas imaginé réussir une telle performance en finale d'un tournoi du Grand Chelem, pour une grande première à ce niveau. Pourtant, le Croate l'a fait. Injouable pendant deux heures, il a saoulé Kei Nishikori de plombs au service et de coups de gagnants pour finalement s'imposer en trois sets (6-3, 6-3, 6-3). Une finale quasi parfaite pour l'élève de Goran Ivanisevic, qui soulève le premier titre majeur de sa carrière à 25 ans

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